Voici ma chronique sur La tendresse du serpent, le dernier roman policier d'André Jacques. Ne soyez pas rebutés par la couverture, le contenu est heureusement beaucoup plus réussi.
Comme dans Les lions rampants et La Commanderie, on retrouve ici son héros de prédilection, l'antiquaire Alexandre Jobin (remarquez les initiales semblables à celles de l'auteur...)
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